Roche Jaille, faut qu'on y aille
Vie du Club
📋 Ceci est un compte-rendu de la sortie « ROCHE JAILLE 2689m »
Après plusieurs jours de gand beau, ce 31 janvier commence par un ciel couvert en haute altitude. Pas de quoi entamer notre motivation pour cette balade qui s'annonce belle et un peu à l'écart des itinéraires les plus fréquentés. Le rdv est tôt (trop, pour certain.e.), mais nous pourrons peut-être bien manger au sommet, qui sait ?
La neige nous ayant abandonné depuis plusieurs semaines maintenant, nous partirons de Charbutan 1470m (ou Charbutin, selon les panneaux), skis au dos car la neige semble bien haute. Une succession de vallonnements boisés et déneigés s'offre à notre vue depuis le parking de départ. Parking très accueillant au demeurant, nous y sommes seuls et des toilettes sèches grand confort viennent d'y être installées. Au final, dès 1600m, nous trouvons suffisamment pour chausser et peu après 1700m, la neige devient continue. Pour l'instant, elle est bien dure et nous l'espérons un peu décaillée pour la descente.
L'avantage de cet itinéraire, c'est que le paysage se révèle très joli assez bas.
Arrivés au sommet à l'heure de l'apéro, nous décidons de trouver un petit abri de la bise qui souffle légèrement mais continuement. Repas tranquille en profitant de la vue magnifique qui s'offre à nous depuis le Bréquin jusqu'au col des Encombres, en passant pas le Thabor, les Ecrins, les aiguilles d'Arve, l'Etendard. On est bien, tintin !...
La descente s'avérera assez agréable : la neige est dure, pas verglacée ni trafolée. Le bonheur pour cette météo ! Un peu de croute en formation par endroits, mais on l'évite facilement.
Pour le final, 2 écoles parmi nous : d'un côté les fondamentalistes qui garderont (chaussant, déchaussant, rechaussant) leurs skis jusqu'au bout au prix d'un peu de plastique, et de l'autre les randonneurs qui finiront à pieds (dans ski de randonnée, il y a bien randonnée, non ?). L'efficacité des 2 méthodes étant strictement identique, avec des arrivées ex-aequo !
Bien que l'itinéraire se soit avéré plutôt sauvage, son accès n'est pas en rase campagne et nous trouverons facilement un accueillant bistrot pour le débrief à St Michel de Maurienne, une ville pourtant peu avenante vue de l'extérieur.
Merci à Alain pour cette bonne idée, à tous pour la très bonne ambiance et à bientôt, on espère ! Photos de Alain, Aline, Aurélie et moi-même.
L'avantage de cet itinéraire, c'est que le paysage se révèle très joli assez bas.
Arrivés au sommet à l'heure de l'apéro, nous décidons de trouver un petit abri de la bise qui souffle légèrement mais continuement. Repas tranquille en profitant de la vue magnifique qui s'offre à nous depuis le Bréquin jusqu'au col des Encombres, en passant pas le Thabor, les Ecrins, les aiguilles d'Arve, l'Etendard. On est bien, tintin !...
La descente s'avérera assez agréable : la neige est dure, pas verglacée ni trafolée. Le bonheur pour cette météo ! Un peu de croute en formation par endroits, mais on l'évite facilement.
Pour le final, 2 écoles parmi nous : d'un côté les fondamentalistes qui garderont (chaussant, déchaussant, rechaussant) leurs skis jusqu'au bout au prix d'un peu de plastique, et de l'autre les randonneurs qui finiront à pieds (dans ski de randonnée, il y a bien randonnée, non ?). L'efficacité des 2 méthodes étant strictement identique, avec des arrivées ex-aequo !
Bien que l'itinéraire se soit avéré plutôt sauvage, son accès n'est pas en rase campagne et nous trouverons facilement un accueillant bistrot pour le débrief à St Michel de Maurienne, une ville pourtant peu avenante vue de l'extérieur.
Merci à Alain pour cette bonne idée, à tous pour la très bonne ambiance et à bientôt, on espère ! Photos de Alain, Aline, Aurélie et moi-même.
